L’indépendant collectif

Quand je vois
tous ces autres qui
n’existent pas
tandis que je me morfonds
dans mon nombre,
je ne peux m’empêcher
de rêver aux pluriels du printemps.
Le vent dans mes « je veux »,
la moiteur de mes draps
et le ciselant des moustiquaires.
Il est étrange
mon magasin de bricolage.

L’indépendant collectif

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s