L’illusion des illusionnés

Je me souviens de ce moment exquis
La dernière latte avant la fessé,
Où les maux de passes passent
Si c’est un pur désir.
Convainquant l’absence d’aimer,
Aussi perdu qu’un flic en civil,
Un corps violent
Une petite fleur,
Et toutes ces hantises noyées dans les plus beaux culs-secs
Où balade le regard désabusé.
La beauté parisienne sans la pédanterie mondaine,
Ce que l’espace tend,
En tant de guère
Quand la muse bouche
Les mots d’où ?
L’orpheline attelle.
Payer son tribu à une horde d’adoleschiantes,
Frapper de ses poings la voûte céleste
Mourir de n’être qu’un homme
Et balance ton corps.

L’illusion des illusionnés

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