Faim de je

Traiter de la merde,
De l’absence de beauté dans le désespoir.
De ces choses autrefois vivantes
Que mortes on expulse.
Lâcher l’un
Supportable
Qui de toute façon est parti,
Fin de jeu.

Ta perte m’a offert ce poème
Et la vie continue,
Contiguë,
J’m’en songe le coquillard.
De toute façon on a jamais raison quand c’est bon.

La mort aux trousses
On me l’a vendu l’intérêt du paradis,
A se retrouver ainsi perdu,
Dans une demeure
L’attente.

La prochaine fois je vous parlerai d’amour,
Mais en attendant,
Dis moi,
Toi,
Tu l’as appelé comment ton bébé mort ?

Faim de je

Une réflexion sur “Faim de je

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