A quand un rapport aux mots sexuels ? Coucher avec l’évêque évoquant la conscience éveillée. Effleurer la toison plombée de chasteté et s’interroger : que faire ? La révéler, la relever, la révérer… bienvenue en raie publique. La torpeur dans la douceur m’assaille, un grand noir aux yeux bleus, les vagues à lames. Se taire ou s’apitoyer ; sous vents, râle l’air frictionné d’une marrée d’incertitudes.
Célébrer son arrivée, trinquer sans fanfaronner, à je, à nous, à l’aide, à genoux. Tarauder l’arme laideur pourléchant les plaies laissées ouvertes à la mer. Lentement, le sachant mélange est désincarné. Valent que failles effrontées, gouffres calcinés couvrant les béances de bienséances. Caduque, comme la vieille branche frêle, fredonner son bourdon, encanailler l’inquisition impérative qui nous hante et faire l’amour aux murs. Une bonne partie de genre en l’air.
A la poursuite de la vie, achever le crépuscule de l’ode au rien en démembrant des limaces. Et tenter, édenter, de capturer les sens des dames en vain. Entêter à être toujours râleur. Alors, se gargariser des seins animés par la jeunesse et les empoigner sans tendresse aux palais des altesses enrouées de tâches de rousseur. La muse ment sans détour, tu la prendras à tes dépends. D’ailleurs, l’un des pendants m’achève du regard en fuyant les spectres d’un possible. Sortir du bord d’elle, s’essayer à rejoindre le mâle entendu du jeu des mots. Mais au fait, y va comment le vieux ?
Y vacille.