Tous ces ils élémentaires concaves,
Toutes ces elles emplumées convexes.
Une matière qu’on fuit,
Les moments d’extase dans l’arôme antique.
Le silence du mistral sur mon toi panoramique,
Et tous ces verres brisés d’Inconnu.
La sexuelle adresse du mâle adroit.
Tous égaussés de l’existence,
En regards dansent
Les renards d’hier.
Les cheveux longs des filles,
Un Novembre au Japon
Et une légèreté de montgolfière.
Tous ces hauts mots d’esprit,
Invraisemblables tests amants.
Les problèmes de ce maître au lit
Et le ciel sans le feuillage des étoiles.
Les nuages de ce lent gage qui astreint,
A l’espoir, ensemble.
Le reste peut bien attendre.
Absolument sublime !
J’aimeJ’aime